À l’aube de la quarantaine, Grégory Vannier, double diplômé en optique et en audioprothèse, décide de sauter le pas et de se franchiser chez Acuitis. Son idée en lançant son projet entrepreneurial avec le réseau ?
(Ré) concilier ses deux métiers avec le soutien d’une enseigne dont c’est l’ADN
Quand je faisais mes études d’optique à Montpellier, je voyais mes amis qui suivaient un cursus en audioprothèse, et je sentais que le métier m’attirait, se souvient Grégory Vannier. J’ai fait un stage à Cahors chez un audioprothésiste indépendant pendant quelques jours, et cela m’a vraiment plu. J’ai donc décidé de démarrer des études d’audioprothèse, toujours à Montpellier, que j’ai poursuivies pendant que je travaillais en optique.
Fraîchement diplômé en 2006, il devient audioprothésiste à plein temps et travaille un an chez un indépendant à Nice, avant de se mettre à son compte à Perpignan. Dix ans plus tard, en 2017, il vend son centre d’audioprothèse à une grande enseigne, au sein de laquelle il exerce près de cinq ans. Si tout se passe
bien professionnellement, Grégory ressent un besoin de changement à l’approche de la quarantaine et un désir d’entreprendre à nouveau : « J’avais 15 ans d’expérience en audioprothèse à divers postes, et même si mon métier me plaisait toujours j’avais besoin de renouveau. Je me suis demandé ce que je savais faire, ce que je pourrais faire de nouveau dans la profession, et très rapidement, s’est imposée à moi l’idée que j’étais certes audioprothésiste, mais également opticien ».
L’APPROCHE UNIQUE D’ACUITIS
Après s’être renseigné sur les enseignes présentes sur le marché ayant des centres dédiés à la fois à l’audition et à l’optique, son choix s’arrête sur Acuitis. Si son souhait de se reconnecter au monde de l’optique est un critère très important, c’est surtout son expérience, après plusieurs semaines passées dans différentes maisons de l’enseigne, qui le décide à s’engager à ses côtés. « La qualité de l’accueil des clients et le cadre de vie au travail sont incomparables.
C’est quelque chose que l’on ressent aussi en appelant le siège à Paris ou en s’y déplaçant. Je peux en témoigner, car pour toute la partie en amont de l’ouverture, je me suis beaucoup rendu à notre siège parisien. La démarche d’Acuitis est très singulière, parce que les magasins sont des maisons, les clients des invités et nous sommes des maîtres de maison. Nos invités sont vraiment comme à la maison et cela nous met dans une position d’accueil, de bienveillance, qui fait que nous sommes détendus. C’est vraiment important pour moi : même en ayant beaucoup d’expérience, je me sens parfois un peu trop
pressé par le temps, etc. Chez Acuitis, nous travaillons aussi beaucoup, mais dans de très bonnes conditions »
UNE ÉCOUTE ET UN ACCOMPAGNEMENT PERSONNALISÉS
Grégory décide de rejoindre Acuitis en décembre 2020 et trouve un emplacement pour son local en mars 2021. L’enseigne l’accompagne à toutes les étapes,
de la recherche des financements, à l’établissement du business plan en passant par l’étude de marché.
Pour l’agencement du centre, elle dépêche un architecte d’intérieur. « Il a fait un travail fabuleux, en cassant notamment les codes de l’optique, avec les montures posées sur des tables, se souvient l’audioprothésiste. Il a aussi créé un environnement très cosy, très chaleureux ». Bien que très satisfait de la prestation d’Acuitis, Grégory a une demande particulière : il souhaite faire installer un Biophone enfants, afin de créer un espace dédié à 100 % aux tests auditifs et au réglage des aides auditives des enfants.
« C’était vraiment incroyable, parce qu’ils ont dit oui, alors que cette idée sortait complètement du cadre de ce qui avait pu être fait auparavant, s’étonne aujourd’hui encore le maître de Maison. Le premier Biophone pour enfants a donc été spécialement conçu pour notre centre. J’espère que ce sera le début de beaucoup d’autres, car si j’en suis à l’origine, j’en tirerai une très grande fierté ».
UNE MAISON POUR DEUX MÉTIERS
Au moment de se franchiser, une autre question centrale pour Grégory Vannier était la manière dont il réintégrerait le monde de l’optique, qu’il avait quitté une quinzaine d’années auparavant. Sur ce point également, le choix d’Acuitis, seule enseigne du marché née avec les deux métiers, s’est imposé naturellement à l’audioprothésiste. Le réseau, qui est aussi une marque de créateur en optique, offre en effet un service clé en main : le franchisé ne s’occupe ni du choix des montures ni de la partie logistique, souvent fastidieuse et chronophage pour des professionnels qui évoluent dans un marché très concurrentiel. « En gérant tous ces aspects, Acuitis me permet d’être serein : je n’ai aucun souci logistique sur la partie optique et je peux me consacrer à mon métier d’audioprothésiste», confirme Grégory.
Au sein de sa Maison, il est épaulé par deux collègues en optique. Outre leur travail classique d’opticiens, ils interviennent aussi pour aider leur collègue audioprothésiste, lorsqu’il s’agit par exemple de réajuster les branches d’une paire de lunettes après l’adaptation d’une aide auditive : « Avant, j’aurais conseillé à mes invités d’aller voir leur opticien pour ce réglage, sourit l’audioprothésiste. Mais dans une Maison Acuitis, ils n’ont qu’à passer dans la pièce d’à côté ». Cette synergie naturelle, à laquelle les invités sont « très sensibles », permet également de promouvoir la partie audition du centre : beaucoup d’invités entrent pour des lunettes, découvrent l’espace audition, le Biophone, voient comment Grégory Vannier travaille, et finissent par se faire dépister gratuitement : « Lorsque l’on dépiste quelqu’un qui avait le sentiment de moins bien entendre sans en être vraiment sûr, qu’on l’envoie chez un médecin ORL et qu’il revient se faire équiper dans notre Maison, nous savons que nous avons rempli notre mission ».
LA PUISSANCE D’UN GRAND GROUPE
Précisément pour les accompagner dans leur mission, Acuitis donne à ses franchisés la possibilité d’accéder à des technologies de pointe, des partenariats privilégiés ou encore des tarifs négociés, tout en conservant leur indépendance et leur libre-arbitre. L’enseigne organise aussi toute l’année des formations pour qu’ils restent toujours à la pointe des dernières technologies et tendances. « Tout bouge très vite dans nos métiers et il est parfois difficile d’être toujours à la page. Grâce à Acuitis, qui imprime une certaine cadence dans les formations, nous mettons régulièrement nos connaissances à jour et en acquérons de nouvelles. Sandra Berrebi, notre directrice des Métiers, est vraiment très investie sur la formation et le suivi des évolutions dans notre métier, confirme Grégory Vannier. Le fait que le réseau prenne en charge les aspects technologiques et commerciaux est aussi très important à mes yeux. Je préfère voir les fournisseurs pour qu’ils me présentent leurs nouveautés plutôt que de devoir négocier des tarifs avec eux : c’est le métier d’Acuitis et ils savent très bien le
faire ».
